mardi 12 août 2014

Les plus belles sont parfois les plus tristes...

*** Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi mon texte est surligné en blanc alors que je n'ai pas activé le surlignage en blanc? Et la mise en page complètement bizarre ? Grrrrrrr !!!!!! ***
 
 
 
 
 
 
Je me suis souvent dit que les histoires d’amour les plus belles étaient aussi les plus tristes.
La première histoire d’amour aussi belle qu’impossible et triste qui m’a marquée, c’est celle de Buffy et Angel (la tueuse de vampire et son beau vampire, chacun ses références !). J'avais quinze ans. Après, ça a été le film N’oublie jamais (bon, d'accord, cette histoire impossible-là se révèle finalement possible mais ça ne m'a pas empêchée de verser toutes les larmes de mon corps en la visionnant), puis le roman Noces indiennes. À chaque fois, c’est pareil : ces histoires m’emmènent, m’emportent, me font pleurer.
 
J’ai souvent pensé à nous de cette manière-là : une très belle histoire mais une histoire un peu triste quand même, parce qu’impossible ou presque…

Peut-être que c’est une chance, en fait. Que l’histoire s’arrête quand elle est belle, quand les amoureux s’aiment, quand la vie quotidienne n’a pas entamé le parfait des débuts.

Et pourtant… Dans les films, les séries et les romans, c’est systématique : j’imagine des fins alternatives, des fins heureuses où ils finiraient ensemble, où ils vivraient heureux jusqu’à la fin de leurs jours et où ils auraient beaucoup d’enfants. J’imagine une fin où leur histoire aurait été possible, où leurs choix auraient été différents, et je râle sur ces auteurs qui sont décidément bien trop cruels avec leurs personnages.
 

Je suis heureuse d’avoir vécu cette histoire, je suis heureuse de posséder une série de magnifiques souvenirs… Et pourtant, qu’est-ce que j’aurais aimé avoir plus que des souvenirs, qu’est-ce que j’aurais pas donné pour que ce soit possible, pour que la vie ait été différente, pour pouvoir vivre un quotidien qui entame le parfait des débuts, pour faire un bout ou tout un chemin avec lui...


 



Un jour, j'écrirai une histoire d'amour impossible. Mais une histoire d'amour impossible qui finit bien... Parce que je veux croire que la vie est simple et que c'est nous qui la rendons compliquée. Parce que je veux croire aux histoires qui finissent bien. Parce que je crois aux histoires qui finissent bien.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire