mardi 24 avril 2012

Au carrefour du destin


Au carrefour du destin. C'est le titre d'une seconde nouvelle, pour un second concours. Bizarrement, alors que j'ai eu deux mois pour rédiger la précédente, malgré le fait que j'aie eu assez rapidement une idée lumineuse (hum) qui me plaisait beaucoup, j'ai mis énormément de temps à la coucher sur le papier.

Ce second concours (ici), je l'ai découvert il y a quelques jours à peine. Date butoire le 1er mai, ça ne me laissait pas beaucoup de temps. Or, le plus difficile (à mon avis) dans ce genre de concours, c'est de trouver l'idée. En général, le thème est imposé et malheureusement, tous les thèmes n'inspirent pas. Le thème de ce concours-ci, c'est le rendez-vous. Je me suis creusée la cervelle, une bonne dizaine d'idées ont surgi mais aucune n'a retenu mon attention.

Jusqu'à ce matin. Ce matin où, au gré d'une grasse matinée dont j'avais bien besoin (c'est moi qui le dis), dans un demi sommeil un peu pâteux, l'idée a surgi. Je l'ai entretenue quelque peu dans mon demi sommeil, entre rêve et imagination. Une heure plus tard lorsque je me suis levée, c'était décidé, j'étais prête à rédiger.

(Encore) deux heures plus tard, ça y était, l'histoire était couchée sur le papier. À croire que les deadline serrés sont mes amis. J'ai un peu bataillé pour réduire le nombre de caractères (très frustrant) (quelle idée, aussi, de limiter à 10 000 caractères) (espaces compris !). J'ai cherché un titre, j'ai trouvé un titre (qui sera peut-être sujet à modification, les titres c'est pas trop mon truc) (je me répète au fil des billets, faut croire que je deviens vieille avant l'âge).

Envie de revenir sur cette histoire de demi sommeil, aussi. Je sais pas vous, mais c'est dans cet état que mon imagination est la plus performante. Le soir alors que je suis sur le point de m'endormir. Ou le matin lorsque j'ai l'occasion de me réveiller autrement que via la sonnerie (aussi insupportable que stridante) de mon réveil. À ce moment-là, mon esprit est perdu quelque part entre la réalité d'un côté, le rêve et l'imagination de l'autre. En général, ça donne des idées terribles (terribles ayant deux significations possible : la première, une idée merveilleusement géniale ; la seconde, une idée qui me paraissait merveilleusement géniale dans mon demi sommeil mais qui ne survit pas au réveil où elle se révèle sous son vrai jour : complètement absurde).

A part ça, y a plus qu'à laisser le texte dormir deux-trois jours avant de le relire. Et puis l'envoyer. Advienne que pourra !

Edit : aïe aïe aïe, je viens de tomber sur un nouveau concours, deadline le 7 mai ! Faut que je cesse de taper "concours de nouvelle" dans google ou je ne m'en sortirai pas :-)

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